Parce qu’il faut bien définir une catégorie qui reprend les thèmes qu’on n’a pas su classer ailleurs… Chroniques ou délires inclassables, voici le tiroir sans étiquette ni poignée…
Yves, je ne m’appelle pas Yves.
Quelque part, je le regrette. Non pas que je n’aime pas mon prénom, mais parce que celui qui me fut donné un soir d’hiver rigoureux ne me permet pas autant de possibilités de jeux de mots que Yves, qui en la matière est potentiellement infini.
Je n’ai absolument aucune honte non plus à porter mon patronyme ; j’ai la chance, qui m’a été donnée par de plus illustres individus, de le porter en descendance d’un noble du quinzième siècle, et même lui devait le tenir de plus illustre ascendance.
Cependant, si vous connaissiez à la fois mon nom et mon prénom (ce que vous ne manquerez pas de faire, avec un délai de résolution qui frise en millisecondes un chiffre proche du quotient intellectuel d’un caillou moyennement doué), vous vous apercevrez que les possibilités de convergences vers ma propre identité sont infinies.
Bon, et puis quoi, encore ?
Parce que j’aurais vraiment aimé pouvoir porter ce prénom-là, parce qu’il permet des possibilités infinies en terme de jeux de mots, de saillies piquantes, de moqueries malveillantes. C’est ce que je développer dans l’écrit qui pour l’instant nous lie, avec le secret espoir que vous n’avez pas encore abandonné en cours de route, ce qui est peu car mon traitement de texte affiche toujours le chiffre 1 en terme d’achèvement. Et c’est peu.
Yves Rogne.
Yves Remords.
Yves Amieux.
Yves Amal.
Yves Apamal.
Yves Aumieux.
Yves Aupas.
Yves Onpafairça.
Yves Hapamalétoi.
Yves Apleuvoir.
Yves Aneiger.
Au terme de ce premier semblant d’article, tous ces patronymes fantaisistes peuvent m’être attribués, et je puis sauvagement me les attribuer. Cette liste étant une forme de coming-out totalement assumée, dites-moi par où je dois commencer car j’ai tellement à en dire que je ne trouve pas le meilleur débutage.
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