The Residents

J’aime aussi produire des rimes. Approximatives ou pas…

Intestin…

Après mes délires plumitifs,

Je rentre en mon moi privatif.

Je me retire dans mon nombril

Pour y ablutir ton pistil.

Soudain, la caravane des nez en feu tombe de la pompe à dieux et le judas cannibale attaque les régiment d’ananas. C’est un carnage sans ponctuation. Dehors, l’orage éternue et ça fait des oiseaux en poudre.

Mais la chute.

On dit que je suis un corridor.

Je pousse et monte, riant des rillettes.

Je collectionne les pets de serpent.

Je ris.

J’éjecte des tumulus de pitance rose à travers les orifices sirupeux de la conscience collective.

Et ça fait floc floc.

Ma montre est nue sous son pare-brise.

La girafe sèche sur le fil à couper le beurre.

Chien jaune au parfum de triangle.

Merci d’être fermé.

Je vous souris verticalement et je vous découpe mon horizon.

Rendez-moi mes frasques.

Arrêtez les chèvres.

Occiput, ni soumise.

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